Les Centres de recherche
qui m'accueillent
C2SD (Centre d'études en sciences sociales de la défense)
ENeC (Espaces, Nature et Culture)
Ecole doctorale de géographie de Paris
Le Centre d'études en sciences sociales de la défense (C2SD)
www.c2sd.sga.defense.gouv.fr
24, rue de Presles
75015 PARIS
Extrait du site du C2SD : Présentation du séminaire "Jeunes chercheurs"
Le C2SD organise dans ses locaux, un séminaire mensuel destiné aux doctorants de tous horizons, spécialistes de la défense.
Une part importante des réalités politiques, internes et internationales, concerne les forces armées et les politiques de défense. Pourtant, en France, comme dans de nombreux pays, ce domaine est souvent ignoré par les spécialistes des sciences sociales, le privant ainsi d’une dimension et d’une analyse de qualité.
Aussi, pour faciliter la compréhension et les échanges sur ces sujets, le C2SD a mis en place au début de l’année 2000 un séminaire mensuel destiné aux doctorants de tous horizons (en économie, en droit, en science politique, en sociologie, en anthropologie ou encore en relations internationales...), spécialistes de la défense.
Regroupant une quarantaine d’inscrits, ce séminaire se tient un vendredi après-midi par mois, dans les locaux du C2SD.
Laboratoire Espaces, Nature et Culture (ENeC)
www.enec.paris-sorbonne.fr
Maison de la Recherche
Université paris IV Sorbonne
28, rue Serpente
75006 PARIS
CNRS UMR 8185
Extrait du site Internet de l'ENeC : Présentation du laboratoire
L’UMR 8185 Espaces, Nature et Culture (CNRS et universités Paris IV et Paris , restructure, depuis janvier 2006, les orientations et les programmes de recherche des deux anciennes unités qui la constituent, Biogéo (centre de Biogéographie et Ecologie, CNRS – ENS/Lettres et Sciences humaines puis Paris Sorbonne - Paris IV) et Espaces et Culture (CNRS – Paris Sorbonne - Paris IV). Cette création offre à la nouvelle unité de solides opportunités de conserver un leadership dans des secteurs essentiels de la géographie culturelle et de la biogéographie, en proposant de projets transversaux et pluridisciplinaires qui focalisent sur l’interface entre nature et culture dans les domaines de l’environnement, de l’aménagement et de l’urbanisme, du développement, des patrimoines naturels et culturels.
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Le laboratoire interroge les défis émergents auxquels devront répondre les sociétés, comme l’augmentation des vulnérabilités face aux aléas naturels et sociétaux ou le changement climatique. Les choix imposeront autant des réinterprétations culturelles et écologiques que des ajustements territoriaux : réévaluation des dynamiques et des fonctions des formations végétales (programmes 2000 et 2003 du GIP Ecofor Forêts et tempête), allocations d’espaces dans les milieux menacés (littoraux), conflits de hautes et basses intensités, crises sociales et idéologiques (Risques naturels et technologiques au Liban, dynamiques paysagères au Vietnam pendant et après les guerres). Ce contexte mobilisera aussi notre force d’expertise sur les rapports entre produits, pratiques alimentaires, terroirs et paysages (travaux franco-canadiens, partenariats avec les universités de Bordeaux et de Dijon, avec le monde agricole et les collectivités).
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Les compétences du laboratoire sont aussi orientées vers l’analyse des patrimoines et des processus de patrimonialisation : Héritages bioculturels en forêt (programme LIFE européen, 2004), Héritages culturel et conflit dans la construction de l’identité européenne (projet de programme avec l’université de Cambridge), habitat rural (colloque Les maisons paysannes, 2006), paysages (proposition de recherche Paysage et développement durable du ministère de l’écologie et du développement durable, partenariat avec le Muséum d’Histoire naturelle), gestion durable (intégration de la mémoire des conflits aux aménagements forestiers, partenariat ONF ; pôle-relais Mares et Mouillères de France en Ile-de-France et Picardie). La problématique Environnement et santé s’inscrit dans les transformations des espaces agricoles, dans la gestion des territoires (programme Pollution de l’air urbain, universités Paris 4 et Jagellon, Cracovie, dans le cadre de l’Interdisciplinary Co-operation for the Sustainable Development of Historical Cities and Protected Areas).
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Forte d’un département informatique-géomatique en partenariat avec l’EHESS, l’UMR renforce ses capacités et ses outils d’analyse des mutations des sociabilités et des organisations spatiales, ainsi dans les espaces interstitiels et les matrices paysagères fragmentées, franges urbaines, lisières forestières, éléments de la nature en ville (chercheur associé en écologie du paysage, appui du centre de ressources-images, CAMS, UMR 8557 – MSH Paris). Parmi les thèmes récents, citons : – les dimensions symboliques et discursives des territoires et des groupes, nations, ethnies, communautés (récents colloques sur les thèmes Pique Nique et Géographie et musique) ; – les habitats intra et extra forestiers et le suivi épidémiologique de deux maladies transmissibles, l'échinococcose alvéolaire (financement MSH Paris Nord) et la maladie de Lyme (financement en cours de montage et support à une thèse) ; – la filière équine dans les Projets de territoire (Pays de Fontainebleau, partenariat Ecole des Mines de Paris).
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Ces potentiels exploités et en devenir, l’UMR les publie, via la revue et la collection Géographie et Culture et tout autres supports externes et internes ; le numéro 58 (été 2006) de la revue, Multiculturalisme/Mondialisation, a ainsi publié les textes du séminaire de mai 2005 « Géographie culturelle et multiculturalisme ». Elle les restituera, les confrontera, les mettra en réseau lors de sa première manifestation ouverte, le colloque international de septembre 2007, L’après développement durable : espaces, nature, culture et qualité, qui porte sur quatre thèmes, La demande sociale de qualité, La qualité comme valeur normative, La qualité comme opérateur spatial, Qualité et durabilité.
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L'Ecole doctorale de géographie de Paris
www.ed-geographie-paris.paris-sorbonne.fr
191, rue Saint-Jacques
75005 PARIS
Extrait du site de l'Ecole doctorale de géographie de Paris : Présentation de l'Ecole doctorale
L'Ecole doctorale de géographie de Paris tient son originalité de l'importance et de la diversité des compétences scientifiques qu'elle regroupe, partagées entre trois établissements d'enseignement supérieur et de recherche :
- L'Université de Panthéon-Sorbonne (Paris 1)
- L'Université de Paris-Sorbonne (Paris 4)
- L'Université Denis Diderot (Paris 7)
Elle assure une formation doctorale à l'interface des sciences de la nature et de la société. La géographie inscrit en effet bon nombre de ses interrogations relatives à l'espace et aux territoires sur cet important carrefour scientifique. Elle y occupe ainsi une position originale parmi les sciences sociales. Cette formation affiche également une forte dimension internationale sous la forme d'interventions de conférenciers étrangers, de l'accueil régulier d'étudiants étrangers, de l'intégration des projets de thèse dans des programmes internationaux des équipes d'accueil chaque fois que cela s'y prête, et enfin de l'extension de la pratique des co-tutelles (co-direction internationale des thèses).
Aux étudiants qui la choisissent pour y effectuer leur doctorat, l'École doctorale de géographie de Paris assure une formation de haut niveau et délivre un diplôme monnayable dans l'université et la recherche, ainsi que dans de très nombreux autres secteurs d'activités extérieurs à l'université (environnement, urbanisme, gestion territoriale des collectivités etc…), tant en France qu'à l'étranger.
L'Ecole doctorale associe largement les potentiels scientifiques de la géographie réunis à Paris, mais. elle se veut résolument ouverte à d'autres disciplines comme en témoignent les laboratoires qui la compose, ainsi que les enseignants et chercheurs issus des sciences de la nature, des diverses sciences sociales et des sciences pour l'ingénieur.
Elle met également à la disposition des doctorants la grande richesse des compétences réunies dans les équipes d'accueil qu'elle abrite, les faisant bénéficier de leur complémentarité et des réseaux scientifiques qu'elles ont su construire dans les différents champs dans lesquels elle opère.